Mines

ADG de la SNIM : les réserves de la société sont estimées à 15 milliards de tonnes de minerai de fer

L’Administrateur-Directeur général de la Société Nationale de l’Industrie et des Mines (SNIM), Mohamed Vall ould Telmidi, a déclaré que la société dispose d’énormes réserves de minerai de fer, qui dépassent 15 milliards de tonnes. La plupart de ces réserves est de la classe de la magnétite, qui convient à la fabrication de concentrés et de boulettes de fer et d’acier, ce qui lui offre de nombreuses opportunités d’investissement.
Il a ajouté, lors du démarrage des travaux de la sixième édition de la Conférence et Exposition Mauritanides à Nouakchott, que la SINM a maintenu une position de leader dans le soutien à l’économie nationale, notant que ses contributions au cours de l’année écoulée se sont élevées à 17 % des recettes du budget de l’État, 15 % du PIB et 53 % des exportations.
Il a souligné que les exportations de la SNIM sont dirigées vers les marchés de consommation traditionnels en Europe, en Asie et en Australie, notant que la SNIM travaille actuellement, dans le cadre de sa politique commerciale, pour intégrer de nouveaux marchés en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.

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Un commentaire

  1. C’est encourageant de nous parler des projets d’hydrogène de 2050 mais nous avons voulu que vous nous parler de projets de gaz et ses retombées économiques de 2023 comme par exemple le Sénégal qui commence à laver ses ustensiles pour sa part de cet important projet de gaz qui verra le jour en 2023.
    En ce qui concerne les réserves de fer que l’ADG de la SNIM avait parlé,oui il avait raison que la région de Tiris et de Tasiast sont truffées des minerais de toutes sortes dont le grand savant Cheikh Mohamed Elmamy avait prédit il y’a deux siècles à peu près mais ça nous ne nous empêche de dire qu’il est grand temps de transformer ces minerais car sans transformation il n’y’aura de développement économique et industriel.Le projet Elouj pour faire les pellettes traîne depuis plus 10 ans et la SNIM commercialise les pierres (minerais brutes ) depuis 1963 jusqu’à ce jour 2022 c’est inadmissible sans la transformation on ne doit aspirer à une stabilité des prix ni une création d’emplois ni à la valeur ajoutée attendue de l’industrialisation crée par la transformation de matières premières.

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